 
               
                
           
 Après l’excursion de Henday en 1754, il s’écoule
          50 ans avant que des Européens s’aventurent aussi loin
          dans l’ouest. Peter Fidler, de la Compagnie de la Baie d’Hudson,
          et David Thompson, travaillant alors pour la Compagnie du Nord-Ouest,
          voyagent dans la région vers 1800–1802. Fidler fonde Chesterfield
          House au confluent des rivières Saskatchewan Sud et Red Deer.
          Ce poste n’existe que quelques années. Thompson trouve
          un chemin pour traverser les montagnes et traite avec les Kt’unaxa, à qui
          il fournit des fusils. Après l’attaque d’un camp
          piégan par les Kt’unaxa, grâce à leurs nouvelles
        armes, Thompson n’est plus le bienvenu en territoire niitsitapi.
Après l’excursion de Henday en 1754, il s’écoule
          50 ans avant que des Européens s’aventurent aussi loin
          dans l’ouest. Peter Fidler, de la Compagnie de la Baie d’Hudson,
          et David Thompson, travaillant alors pour la Compagnie du Nord-Ouest,
          voyagent dans la région vers 1800–1802. Fidler fonde Chesterfield
          House au confluent des rivières Saskatchewan Sud et Red Deer.
          Ce poste n’existe que quelques années. Thompson trouve
          un chemin pour traverser les montagnes et traite avec les Kt’unaxa, à qui
          il fournit des fusils. Après l’attaque d’un camp
          piégan par les Kt’unaxa, grâce à leurs nouvelles
        armes, Thompson n’est plus le bienvenu en territoire niitsitapi. 
Les Niitsitapi apprécient les nouveaux produits offerts par les commerçants européens et se rendent à Fort Edmonton et à Rocky Mountain House, de même qu’aux postes de l’American Fur Company à Fort Union et Fort Mckenzie sur le moyen Missouri. Ces postes sont généralement construits en bordure/à la périphérie des terres appartenant aux Pieds-Noirs, qui refusent de partager leur territoire.
 En
          1840, 1000 personnes traversent l’Ouest américain au départ
          de Saint-Louis sur le fleuve Mississippi pour se rendre jusqu’à San
          Francisco, sur la côte de l’océan Pacifique. En
          1849, ils sont 10 000, amenant avec eux bovins, chevaux et autres animaux
          d’élevage. À mesure que les colons américains
          s’installent dans l’Ouest, les Premières nations
          sont dépossédées de leurs terres. La concentration
          des cultures et la concurrence pour les ressources intensifie l’hostilité entre
          les peuples. Il faut ajouter à ces conflits le désir
          des nouveaux venus de s’approprier les terres et de mettre fin
          au mode de vie traditionnel des Premières nations.
En
          1840, 1000 personnes traversent l’Ouest américain au départ
          de Saint-Louis sur le fleuve Mississippi pour se rendre jusqu’à San
          Francisco, sur la côte de l’océan Pacifique. En
          1849, ils sont 10 000, amenant avec eux bovins, chevaux et autres animaux
          d’élevage. À mesure que les colons américains
          s’installent dans l’Ouest, les Premières nations
          sont dépossédées de leurs terres. La concentration
          des cultures et la concurrence pour les ressources intensifie l’hostilité entre
          les peuples. Il faut ajouter à ces conflits le désir
          des nouveaux venus de s’approprier les terres et de mettre fin
          au mode de vie traditionnel des Premières nations.
À propos de l’image
            :
Produits de traite. Collection du musée Glenbow 
Postes de traite des fourrures. 
Postes de traite. Les Pieds-Noirs accueillent les commerçants de fourrures à cause
des nouveaux outils qu’ils apportent. Toutefois, ils leur interdisent de
construire des forts permanents dans leur territoire. Les marchands bâtissent
leurs forts à la périphérie du territoire pied-noir. Voir
l’image agrandie. Reproduit avec la permission
du musée Glenbow.